Le film vaut surtout, à mon sens, pour ses plans hallucinés, d'une beauté incroyable, avec une lumière très soignée, un noir et blanc garrelien et Pierre Clémenti...
autant être honnête, j'ai somnolé, mais ce film est de l'ordre du songe, songe qui mêle notre rapport au sacré, à l'autorité et la capacité à devenir quelqu'un. Comme dans LA CICATRICE INTERIEURE, beaucoup de marche donc, d'hommes qui marchent ou qui "vont", à cheval ou à pied, avec ou sans bagage.