Pour les chansons d'Eli et Jacno, pour le verbiage polisson de Fabrice Luchini, pour le jeu incroyable de Pascale Ogier, également en charge des décors et des costumes du film.
Stéphanie A.
mercredi 15 avril 2009
LES NUITS DE LA PLEINE LUNE, Eric ROHMER. 1984. $$$
mardi 14 avril 2009
lundi 13 avril 2009
LA JOURNÉE DE LA JUPE, Jean-Paul LILIENFELD. 2009. $$($)
Stéphanie A.
samedi 11 avril 2009
UNE HISTOIRE SECRÈTE DU CINÉMA ÉROTIQUE FRANCAIS (1)
ELISA/ LA FILLE ELISA. Roger RICHEBÉ. 1956.
NATURISME/ LES FILLES D'EVE/ LES FILLES DU SOLEIL. Michel OLIVIER. 1952.
HEURES CHAUDES. Louis FÉLIX. 1959.
Jean-Christophe V.
vendredi 10 avril 2009
mercredi 8 avril 2009
VILLA AMALIA, Benoît JACQUOT. 2009. $$$
Stéphanie A.
Gene Tierney (1920-1991)
(source : Wikipédia)
Gene Eliza Tierney est une actrice américaine née à Brooklyn, New York, le 19 novembre 1920 et décédée le 6 novembre 1991, à Houston, Texas.
Son physique très fin aux pommettes saillants, des allures retenues et ses yeux clairs sous une chevelure brune lui permettaient d'incarner la féminité la plus douce (Le ciel peut attendre, L'Aventure de Madame Muir) ou la plus vénéneuse (Shanghai Gesture, Péché Mortel).
Elle a tourné qautre fois sous la direction d'Otto Preminger, une fois sous la direction de Henry Hathaway, Rouben Mamoulian, et deux fois sous la direction de Joseph L. Mankiewicz.
Gene Tierney est sévèrement marquée, en 1955, par une série d'épreuves qui affectent le reste de sa carrière et de sa vie. Elle se sépare de son mari Oleg Cassini et est hospitalisée pour dépression nerveuse, après avoir contracté la rubéole durant une grossesse et mis au monde avant terme en 1943 une petite fille, Daria, aveugle et mentalement retardée.
Elle est l'une des 2000 étoiles de la célèbre Walk of Fame sur Hollywood Boulevard.
LAURA, Otto PREMINGER. 1944. $$$
most of the picture come from http://movieblogs.soup.io/tag/Films%20of%20the%20Forties
Reflet Médicis/ mardi 7 avril 2009
mardi 7 avril 2009
THE CHASER (Chugyeogja), Na HONG-JIN. 2009. $$($)
Stylé et absurde, rigolo et trash, un mélange détonant pour un film plaisant même s'il tire un peu en longueur. Le téléphone portable apparaît comme un personnage à part entière, notons qu'en Corée, le modèle à clapet fait l'unanimité. Le personnage principal, proxénète et ancien flic, en possède une multitude, qu'il branche, débranche, ouvre et clape à l'envi. Une de ses "employées" voit son téléphone sonner : "ordure" dit l'écran, le sobriquet désigne son boss, fou furieux ultra violent. Le film est donc aussi un film de portable, film plus modeste et dérisoire qui se joue en parallèle. La nervosité qui s'exprime dans la manière de filmer se retrouve dans la façon qu'ont les personnages d'utiliser ces objets qui ont envahi notre société. Si la prostituée coincée chez le serial killer se retrouve entre les griffes du fou et incapable d'appeler à l'aide c'est parce qu'il n'y a pas de réseau.
samedi 4 avril 2009
ANDY WARHOL, PORTRAITS (suite).
SCREEN-TESTS REEL 3 -
#1 Henry Geldzahler (1965)
#2 Twist Jim Rosenquist (1964)
#3 Beverly Grant (1964)
#4 Pat Hartley (1965)
#5 Roderick Clayton (1966)
#6 Tony Towle (1963)
#7 Kyoko Kishida (1964)
#8 Charles Aberg (1966)
#9 Paul Thek (1964)
#10 Gerard Malanga (1964)
HAIRCUT (NO.1). 1963.
Avec Billy Name et John P. Dodd
+
SCREEN-TESTS REEL 8 - #1 MARION ZAZEELA (1964)
SCREEN-TESTS REEL 10
#1 Ethel Scull (1964)
#2 Barbara Rose (1964)
#3 Robin (1965)
#4 Jane Holzer (1964)
#5 Lou Reed (1966)
#6 Edie Sedgwick (1965)
#7 John Ashbery (1966)
#8 Jonas Mekas (1966)
#9 Ann Buchanan (1964)
#10 Paul Morrissey (1965)
MRS WARHOL. 1966.
Cinémathèque française/ vendredi 3 avril 2009
vendredi 3 avril 2009
LES YEUX SANS VISAGE, Georges FRANJU. 1960. $$$
Une petite musique sage, le visage angélique d'Edith Scob, presque irréel, le collier d'Alida Valli cachant une cicatrice détentrice d'un terrible secret, ce film est incroyable de beauté en clair-obscur puisque derrière la recherche de la beauté et de la jeunesse éternelles se cache bien souvent une horreur et une inhumanité abjecte. Un film très impressionnant puisque ne s'offrant des "effets spéciaux" que très modestes mais si bien sentis et amenés qu'ils gagnent en force.
DVD/ vendredi 3 avril 2009.
17 fois Cécile Cassard, Christophe HONORÉ. 2002. $$
Prétentieux et finalement assez chiant, le premier long métrage de Christophe Honoré dispose toutefois d'un casting alléchant - Béatrice Dalle, Romain Duris, Jeanne Balibar - dont il ne fait rien ou pas grand chose. Trop nonchalant, trop nihiliste, le film se perd parce que le fil conducteur du récit s'amincit continuellement. Certes une poésie se dégage que ses films suivants exploiteront avec davantage de profondeur et d'intérêt.
Mention spéciale pour la musique signée Alex Beaupain, très envoûtante surtout le morceau "Pretty Killer " et la bonne idée de faire chanter "Lola" (musique de Michel Legrand pour le film de Jacques Demy) par Romain Duris, véritable vamp d'un déjeuner sur l'herbe.
I VITELLONI (Les inutiles), Federico FELLINI. 1953. $$($)
Filmothèque du Quartier Latin/ jeudi 2 avril 2009.
mercredi 1 avril 2009
LES NUITS DE CABIRIA (Le Notti di Cabiria), Federico FELLINI. 1957. $$$($)
Jean-Christophe V.
lundi 30 mars 2009
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